3 juillet 2016

Une journée au Musée de l´Orangerie




Le but était de découvrir les Nymphéas de Claude Monet
Il y a quelque temps j´ai bien rêvé dans les jardins de Giverny, ce village plein de charme où le peintre avait trouvé le cadre idéal dans pour s´exprimer. 
Amoureux de la nature et de ses couleurs, il cherchait ces coins où elle et la lumière font des sortilèges. Monet aimait les étudier aux différentes heures de la journée pour faire ce qu´il faisait le mieux: la peinture.




Alors, j´avais hâte de regarder la source d´inspiration du maître, le jardin féerique de sa maison à Giverny et surtout le célèbre étang des Nymphéas
Je partageais aussi l´envie avec plein de touristes du monde entier qui font cette sorte de pèlerinage vers cet endroit mythique. 
Et cette dernière fois à Paris j´ai pu découvrir les Nymphéas dans le vestibule dessiné par Monet même! On dit, un espace entre l´oeuvre du maître et l´agitation de la grande ville. Il a offert aux parisiens et à nous, les visiteurs, un sorte de havre de paix consacré à la contemplation de la nature peinte à l´infini dans ces eaux stagnantes.


Bien que les photos sont interdites, j´ai bien profité de 8 panneaux dans 2 salles qui évoquent la marche des heures depuis le matin à l´est, jusqu´à la coucher du soleil à l´ouest. 
L´oeuvre donne une illusion d´un tout sans fin. On dit une onde sans horizon et sans rivage.




Puis, le musée de l´Orangerie présentait une collection de Jean Walter et Paul Guillaume. Des toiles belles, puissantes et tourmentées parfois de Renoir, Cezanne, Modigliani, Matisse, Sisley et Picasso se succédaient pour le plaisir des visiteurs.




Orangerie, un musée merveilleux.

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